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ANTI.ELECTRABEL

8 avril 2010

Les plus gros salaires de Belgique, cuvée 2009

BRUXELLES L’an dernier, la rémunération totale de Didier Bellens, administrateur-délégué de Belgacom, s’est élevée à 2,4 millions €, pouvait-on lire hier dans les journaux Sud Presse. En 2009, son salaire de base était de 985.000 €, contre 1,363 million en 2008. Sa rémunération variable est restée, elle, pratiquement constante (481.000 € en 2009), tout comme les primes d’assurance groupe (107.000 €), les rémunérations attachées aux actions (475.000 €) et les autres avantages (10.100 €). Gérard Mestrallet, pdg de GDF Suez, maison mère d’Electrabel, a quant à lui perçu 1,4 million € de rémunération fixe et 1,94 million € en variable. Le patron de GDF Suez prend ainsi la troisième place dans la liste des patrons du BEL 20 les mieux payés, derrière le CEO de AB Inbev (7,43 millions €, soit près de 7,5 fois son salaire 2008) et derrière Albert Frère, de la holding Groupe Bruxelles Lambert (GBL), dont la rémunération 2009 atteint 3,9 millions € (-9,5 % par rapport à 2008).

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22 mars 2010

Une page de propagande de la STIB

STIB - MOBILITÉ À BRUXELLES
Les voyageurs apprécient les contrôles

016_MET_FR_100322

Téléchargez cette page en format PDF

Du 30 novembre 2009 au 15 janvier 2010, la STIB a mené, sur son site internet, une enquête sur le contrôle des titres de transport. Cette enquête s’inscrit dans le cadre de la campagne annuelle de sensibilisation à la lutte contre la fraude. Il en ressort notamment que plus de 80% des personnes interrogées se disent satisfaites, voire très satisfaites, de l’attitude du personnel lors de ces contrôles.

L’enquête en ligne de la STIB a connu, cette année, un taux de participation record 3.718 questionnaires ont été valablement complétés, soit 2,5 fois plus qu’en 2008. Parmi les répondants ayant été contrôlés, plus de 80% se disent satisfaits, voire très satisfaits, du personnel chargé des contrôles.

La mise en place d’une certification et d’un audit de qualité du service de contrôle des titres de transport semble donc bien porter ses fruits auprès de la clientèle. En 2009, le Service de contrôle des titres de transport a d’ailleurs décroché pour la deuxième aunée consécutive la certification CEN « qualité de service », en veillant particulièrement à la qualité de ses relations avec les clients. Et les contrôleurs comptent bien poursuivre leurs efforts pour continuer à offrir aux voyageurs un service attentionné.

Les résultats de l’enquête révèlent également que près de la moitié des voyageurs ayant répondu à celle-ci ont remarqué la présence des équipes de contrôle. Ces équipes ont été les plus remarquées dans le métro (44,2%), dans les trams (puis dans les bus (25,5%). Enfin, 56,5% des personnes interrogées ont été contrôlées au cours des trois mots précédant l’enquête.

Un sentiment de sécurité accru

Autre résultat marquant: 31% des personnes interrogées estiment que la présence des contrôleurs augmente le sentiment de sécurité. Ce pourcentage passe à près de 52% pour la tranche d’âge des 51 à 64 ans et à 63% pour les personnes âgées de plus de 65 ans.

Plus de 60% des participants à l’enquête sont par ailleurs favorables à un accroissement des contrôles.

L’enquête menée en ligne par la STIB s’inscrivait dans le cadre de la campagne annuelle de sensibilisation à la lutte contre la fraude. Grâce à cette campagne, la STIB entendait rappeler aux fraudeurs les règles en vigueur et les amendes en courues.

Pensez à valider!

Cette année, le thème de la campagne était la validation obligatoire, dans le contexte de l’implémentation progressive de la carte MOBIB.

Plus de 61% des personnes sondées bénéficiaient déjà d’une carte MOBIB au moment de l’enquête et près de 88% d’entre elles ont déclaré savoir que la validation de leur carte MOBIB était obligatoire à chaque montée dans un véhicule ou entrée en station.

Reste que 12% l’ignoraient. Un constat qui montre l’utilité de la dernière campagne et qui souligne l’importance de rappeler régulièrement cette obligation aux voyageurs.

Anti.STIB
envoyé par ANTIELECTRABEL. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

11 mars 2010

Recommandé #2

[…], le 22 février 2010

Numéro de client: [...]

Au Customer Service,
Aux cadres supérieurs d’Electrabel
Au PDG de GDF-SUEZ,
Aux barons électriciens,

Mise en demeure

Suite à votre « mise en demeure » datée du 28.01.2010, envoyée par recommandé début février et réceptionné le mardi 16 février […], j’accuse bonne réception de votre « avis important », envoyé par courrier ordinaire, daté du 16.02.2010 […], ainsi que le courrier de l’organisme ORES – Opérateur des Réseaux Gaz & Électricité […], également daté du 16/02/2010.

Je me permets d’abord de vous faire remarquer qu’aucun de vos deux courriers ne respectent le délai de 15 jours maximum requis pour la réception d’un envoi recommandé (délai qui expirait, dans le cas présent, après le mercredi 17 février !). […] Vous qui vous prévalez de délais non respectés afin de me faire cracher au bassinet, vous pourriez au moins attendre que le délai expire avant de relancer vos menaces. A moins que le courrier reçu le 19 février et daté du 16 n’ait été antidaté afin de me laisser un délai plus court pour réagir.

Soit ! Ces précisions étant faites, je vous mets en demeure de cesser immédiatement votre harcèlement, vos intimidations et vos menaces à mon égard ! J’en ai plus que marre de recevoir ce genre de missives où vous m’ordonnez de payer sans discuter si je ne veux pas avoir d’ennuis, « afin d’éviter tout désagrément », comme vous le dites si « poliment » dans votre dernier courrier. « Usagers de tous les pays, vous devez obéir, le doigt sur la couture du pantalon ! Présentez, portefeuilles !... »

Sachez que « l’intégralité des sommes dues » (que vous essayez en fait de m’extorquer !) a été payée ce dimanche 21 février sur votre compte […]. Ce paiement forcé ne signifie en rien que je reconnaisse la légitimité de votre demande pécuniaire : au contraire, je continue à la contester vivement et catégoriquement ! Comme je vous l’expliquais dans mon courrier recommandé précédent, j’ai toujours payé régulièrement mes factures d’électricité. Ce que vous me réclamez aujourd’hui, ce sont des frais administratifs conséquents à votre gestion. Il s’agit donc d’un prêté pour un rendu… que je vous mets en demeure de restituer le plus rapidement possible. Point barre !

Dès lors, je m’oppose avec la dernière énergie à votre menace de venir faire installer « un compteur à budget d’électricité » par la société ORES (ou par toute autre).

Cela étant dit, je suis moi-même ce qu’on appelle couramment un « travailleur social », et de ce fait je côtoie journellement la misère sociale des sans-abri, des sans-logis, des sans-papiers, des sans-revenus,… de tous ces dépossédés de l’existence que cette extraordinaire civilisation, dont vous êtes l’un des profiteurs les plus éhontés, rejette sur les bas-côtés car ils ne sont pas assez rentables pour vos actionnaires et vos PDG. Inutile de me conseiller de m’adresser au CPAS pour régler mes problèmes de factures d’électricité, car bien que n’étant pas riche, je suis tout de même encore capable de payer « ce que je dois » (selon l’expression consacrée par les adorateurs du veau d’or). Mais « grâce » à vous, et à vos menaces, vos intimidations, je comprends encore mieux l’humiliation que vous faites subir (vous et vos semblables) à ceux que vous ne daigneriez même pas utiliser comme paillasson pour décrotter vos chaussures de luxe…

Je tiens encore à relever dans votre dernier courrier de menaces, cette perle extraordinaire qui en dit long sur la nature exacte de votre « progrès » civilisateur : en effet, vous me menacez, « si le placement du compteur à budget ne peut avoir lieu pour cause de refus ou d’entrave à son placement », de me couper le courant ; bref, en d’autres mots, vous menacez de me plonger dans l’obscurité, dans les ténèbres. Tels sont les bienfaits de votre « progrès » que je vous appelle à garder par devers vous. Merci d’avance…

A bon entendeur, salut…
[…],
Pour ne pas vous servir…

11 mars 2010

Recommandé #1

[…], le 18 février 2010

Numéro de client: [...]

Au Customer Service,
Aux cadres supérieurs d’Electrabel
Au PDG de GDF-SUEZ,
Aux barons électriciens,

J’accuse bonne réception de votre « mise en demeure » datée du 28.01.2010, envoyée par recommandé début février et réceptionné ce mardi 16 février.

Sachez d’abord, pour votre gouverne, que ce courrier, comme toutes les factures, sont libellées au nom de Mme […] alors que les paiements se font depuis mon compte en banque et que vous devriez dès lors clairement voir apparaître mon nom sur les extraits de compte : […].

Sachez également, tout autant pour votre gouverne, qu’à ce jour, et ce depuis l’ouverture de mon abonnement d’électricité à la présente adresse, je ne suis nullement, et pour le moins du monde, en défaut de paiement de la moindre facture à votre égard : j’ai toujours payé régulièrement mes factures d’électricité, j’ai toujours payé « ce qui est dû » [1]. Dès lors, je ne crois pas nécessaire que vous continuiez de formuler intempestivement des menaces telles que de demander « la pose d’un compteur à budget d’électricité ». Merci d’avance…

Venons-en donc au contenu de votre « mise en demeure ». Vous prétendez me réclamer une somme de 174,94 EUR qui se réparti en 10 factures. Je divise celles-ci en deux catégories : les « rappels » et les « sommations de paiement ».

  1. Le premier « rappel » de 4,97 EUR […] est daté du 22.09.2008 et porte sur une facture de 36,00 EUR, dont je me suis acquitté le 24 septembre (soit avec deux jours de « retard » [2]). A ma décharge, sachez que j’étais en vacances pendant trois semaines, et que je n’ai donc pu ni réceptionner, ni payer « à temps » ladite facture…
  2. Le deuxième « rappel » de 4,97 EUR […] est daté du 24.11.2008 et porte sur une facture de 26,60 EUR (« Facture de consommation […] »), dont je me suis acquitté le 21 octobre (soit trois jours AVANT votre « rappel » !!!). Vous comprendrez dès lors aisément pourquoi j’applique ici, directement et indubitablement, vos consignes, reprises in extenso sur toutes vos correspondances, à savoir : « Vous avez déjà payé ? Si votre paiement a croisé ce courrier, veuillez nous en excuser. », ou encore : « Vous avez déjà payé ? Si votre paiement a été effectué entre-temps, nous vous prions de ne pas prendre en compte ce courrier. » Merci beaucoup… Dont acte…
    Je tiens aussi à vous signaler que cette « Facture de consommation » étant de 26,60 EUR, alors que les « Factures intermédiaires » étaient de 36,00 EUR, la différence en MA faveur était de 9,40 EUR, somme que vous avez conservez par devers vous (sur votre compte en banque) durant plus de trois mois (soit du 22-07-2008 = date du relevé du compteur, au 28 octobre = date de la facture). Je pourrais dès lors, tout autant que vous le faites à mon égard, estimer que vous me seriez redevable de frais quelconques vu le retard que vous avez apportez à me rendre ce qui m’était dû !!! Dont acte…
  3. Le troisième « rappel » de 5,16 EUR […] est daté du 25.05.2009 et porte sur une facture de… 7,00 EUR […]. Ici, nous rentrons dans le domaine du « surréalisme à la belge », je m’explique : ma facture initiale était de 37,00 EUR, mais j’ai bénéficié (comme je suppose tous les consommateurs d’électricité dans le pays) d’une « Réduction plan de relance » de 30,00 EUR [3]. Je dois avouer qu’une telle « générosité » m’a tellement abasourdi que j’en ai oublié de payer cette facture de 7,00 EUR « à temps » : je m’en suis, en effet, acquitté le 4 juin… Et comme pour les barons électriciens qui ne font ni dans la dentelle, ni dans le romantisme suranné, et pour qui la Belgique n’est point « la patrie du surréalisme », mais bien la patrie de l’argent, du profit et du business… vous n’avez pas raté le coche, et sachant qu’un petit profit, c’est encore et toujours du profit, vous me réclamez 5,16 EUR supplémentaires pour une facture de 7,00 EUR, diminuée grâce aux « largesses » du gouvernement…
  4. Le quatrième « rappel » de 5,16 EUR […] est daté du 22.06.2009 et porte sur une facture de 37,00 EUR […] que j’ai acquittée le 4 juin (soit bien « à temps », et je ne comprends dès lors pas votre obsession à vous acharner de la sorte).
  5. Ceci, c’était pour les « rappels ». Je passerai très rapidement sur la seconde catégorie, à savoir les six « sommations de paiement » (reprise dans votre « mise en demeure ») que j’estime globalement comme nulles et non avenues, car elles sont essentiellement basées sur le principe du mouvement perpétuel de l’argent se reproduisant lui-même et par sa propre existence. Je tiens à souligner d’autant plus (pour l’anecdote !) que vous annoncez vos « sommations de paiement » comme valant 12,89 EUR pièce, alors que vous les facturez à 25,78 EUR (soit le double !). A ce rythme-là, je comprends que vos chers actionnaires puissent engranger de plantureux dividendes et vos cadres supérieurs de scandaleux bonus… sur le dos de vos employés (corvéables à merci !) et des usagers !!! Dont acte…

Bref, vous avez fait tout ce « foin », et vous avez le culot et la prétention de m’extorquer 174,94 EUR, pour deux malheureux « rappels » dont je vous ai expliqué les aléas ci-dessus. Je vous demande donc de revenir sur vos prétentions démesurées et de me faire part de vos intentions.

Il va de soi qu’en cas d’impossibilité de conciliation, je me réserve le droit de communiquer ce courrier, ainsi que tout autre élément, à diverses associations de défense des consommateurs (par ex : « Test-Achats ») ou d’autres associations, syndicats et média (par ex : « AlterEchos », la FGTB, l’Union des Locataires de Saint-Gilles, le collectif COLERe, etc.) qui se feront une joie d’utiliser mes informations dans le cadre de leurs campagnes de dénonciation des « dérives » de la libéralisation du marché de l’énergie.

A bon entendeur, salut…
[…],
Pour ne pas vous servir…

[1] Je mets « ce qui est dû » entre guillemets car j’aurais énormément à dire sur ce qui constitue le fond de commerce et la fortune des barons électriciens de ce pays, mais je vous en ferai éventuellement part, moins succinctement, dans un prochain courrier, si vous le désirez…
[2] Ce qui à l’évidence constitue une catastrophe affolante, mettant en danger l’équilibre de la planète, bien plus intensément, j’ose l’imaginer, que toutes vos centrales nucléaires et leurs déchets polluants le sont pour les générations futures…
[3] « Cette allocation forfaitaire de 30 euros sur votre consommation d’électricité vous est accordée par l’autorité fédérale dans le cadre du plan de relance économique. » est-il indiqué sur ladite facture. Merci le gouvernement ! Merci les barons électriciens !...

22 février 2010

Scandale electrabel (Groupe SUEZ)

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22 février 2010

Le monde merveilleux d'ELECTRABEL...

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